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Jusqu’à quand le COVID-19 ?

La crise sanitaire du coronavirus, appelé COVID19 (Coronavirus disease 19)continue a mettre le monde à genoux, la fragilisation des économies de presque 187 pays accentue les difficultés sociales et économiques, sans parler des répercussions sur les économies des pays émergents, que l’on appelle par euphémisme pays en voie de développements. Après cette crise sanitaire qui oblige presque 3 milliards de personnes à rester confinés chez eux pour une durée reconductible. Limiter la propagation du virus et éviter un nombre de contaminations plus élevé, est le seul souci actuel des gouvernants. D’après les analystes cette crise sanitaire laissera des traces indélébiles gravées sur la face du monde et ceux qui en souffriront le plus seront les petits pays qui n’ont pas été prévoyants pour développer un système de santé efficient, une économie robuste et une gouvernance pertinente. Même les grands pays industrialisés se trouvent complètement démunis devant la virulence de ce virus à l’origine de la pandémie, et commencent a adopter la posture de dire qu’il faut apprendre à vivre avec ce virus.

Les décideurs à la tête de ces pays se débattent dans les contradictions de leurs décisions. Ont ils bien réagi lors de l’annonce de la première vague de la pandémie ?, ont ils pris les bonnes décisions?, ont ils pris les mesures adéquates en mettant leur populations en confinement ? Les laboratoires pharmaceutiques ont ils les moyens ou plutôt la volonté de développer un remède qui viendrait à bout du virus?.

D’ailleurs ces mêmes laboratoire pharmaceutiques , ont-ils un inetrets à ce que la pandémie se développe et que le vaccin mette du temps à arriver sur le marché ?. Certains prétendent que oui , ce qui explique la guerre qui fait rage entre les membres des conseils scientifiques et ecrtains directeurs d’instituts hospitaliers spécialisés dans les recherches épidémiologiques.

Les médias qui suivent l’évolution de la pandémie, tiennent une comptabilité macabre du nombre des personnes décédées par pays, et passent en revue les avis des experts qui défilent sur leurs plateaux. Ceci au lieu d’informer les téléspectateurs et les rassurer, les inquiètes davantage et crée un climat anxiogène , que beaucoup de spécialistes dans les sciences humaines dénoncent et expliquent que cela accentue également la fragilisation des gens et les rend de plus en plus vulnrables et peut être précipiter la fin d’un partie des ces personnes.

Une polémique est née d’un débat provoqué par le désormais célèbre chercheur Marseillais, sur l’efficacité d’un médicament la Hydroxychloroquine. La polémique que beaucoup de personnes qualifient de stérile quand il s’agit de la santé des malades, a divisé le monde scientifique dont une partie soutient l’urgence de l’utilisation de cette molécule malgré les complications que pourraient subir les personnes souffrants surtout de difficultés  cardio-respiratoires, si la prescription n’est pas accompagnée d’un suivi médical, ou s’il est pris en auto médication. D’autres scientifiques en majorité des médecins, appellent à la prudence quand à la prescription. Ils insistent sur la nécessité de faire toutes les analyses et tous les tests pour en déterminer l’efficacité et en connaitre toutes les contre indications. Pourquoi les gouvernants de certains pays comme le France et la Belgique ont ils interdit aux médecins généralistes de prescrire cette molécule ?

La vraie détresse n’est pas celle  des populations des petits pays, les petites gens a qui on demande de rester chez elles et qu’elles n’ont d’autres moyens que de travailler pour se nourrir et subvenir aux besoins de leurs familles. Des personnes modestes qui sont victimes de systèmes de gouvernance corrompus et inefficaces de leurs pays et victimes de systèmes de gouvernance mondiale, que l’on appelle mondialisation, qui les a réduit en l’espace de deux semaines à des mendiants. Telle est la réalité aujourd’hui des conséquences du COVID19.

En suivant l’actualité de très prés, je commence à me poser des questions sur le caractère accidentel et inconnu de l’avènement de ce virus. Nous savons qu’il nous est venu de chine , mais personne ne sait  comment à t il pu surgir ? ni l’origine scientifique , du moins ce que l’on nous dit pour le moment. Les scientifiques et les chercheurs du monde entier n’ont pas pu déterminer l’origine. Cela voudrait il dire que la pandémie est provoquée et que l’on a pas envie  d’en savoir l’origine.

Quoi qu’il en soit beaucoup pensent que la mise en confinement lors de la première vague de trois milliards d’être humains et les avoir privé de liberté est une manœuvre voulue pour restreindre leur liberté et surveiller leurs mouvements. Pendant la période de mars à mai 2020, et sous prétexte  de contrôler les déplacements des personnes et de limiter la propagation du virus, les États et leurs gouvernements ont demandé aux fournisseurs d’accès internet et de téléphonie mobile, de leur communiquer la géolocalisation de leurs abonnés , afin de surveiller leurs déplacements. Les autorités de surveillance se sont élevées contre cette mesure qu’ils considéraient comme attentatoire à la vie privée. Alors les autorités ont changé de viseur en soumettant aux parlements de légiférer sur la demande de réalisation d’une application informatique pour la surveillance de l’évolution du virus, et dont l’installation sur les téléphones mobiles serait basée sur le volontariat. La préoccupation majeure des gens était de savoir comment les gouvernements allaient gérer la sortie du confinement et le retour a la vie normale. Ici et Là on entendait de temps en temps, une voix s’élever pour dénoncer le complot mondial sur la santé des peuples, et résonner dans le ciel de la pandémie. Complot qui serait ourdi par les lobbies des firmes de médicaments. Discours repris et amplifié par des personnes en mal de d’audience qui profitaient du climat anxiogène qui régnait et qui continue de régner jusqu’à aujourd’hui. Profitant depuis le début de la crise et de l’inquiétude des populations, pour diffuser leur vérité qui se révèle être une fake news destinée à faire le buzz, ils ne cessent de marteler ce discours et insister sur la réalité des thèses qu’ils prétendent défendre. Aujourd’hui et depuis la deuxième confinement le gouvernement insiste auprès des citoyen pour l’utilisation de TousAntiCovid qui est une application mobile de traçage numérique pour limiter la propagation du virus, et identifier les endroits ou le virus circule. Cette application est mise en circulation  sous le contrôle du ministre de la santé et son installation sur les mobiles sera basée sur le volontariat, eu égard au respect  et la protection des données privées. Les responsables comptent sur le sens de responsabilité des uns et des autres pour qu’elle soit installée par le plus grand nombre d’utilisateurs. Les personnes âgées placées en EHPAD « Établissement Hébergeant des Personnes Âgées Dépendantes » sont les premières victimes de la pandémie et représentent la population la plus exposée aux risques de la contagion et qui comptent le plus grand nombre de décès dans ses rangs. Lors de la prrmeire vague un directeur de l’un de ces établissements  a lancé un cri d’alarme pour attirer l’attention du gouvernement sur le risque  de mort élevé qui guette les personnes âgées dans les EHPAD, si les mesures de les mettre en sécurité ne sont pas prises notamment les test de dépistage. Quinze jours plus tard et après beaucoup de décès, les test des personnes âgées, et un confinement dans les chambres ont été mis en place, avec interdiction aux familles de venir leur rendre visite jusqu’à nouvel ordre. Enfin le gouvernement prend une mesure tardive certes, mais elle devait être prise pour préserver ces personnes et ne pas précipiter leur fin par négligence.

Le coronavirus a complètement changé l’état d’esprit et a introduit une psychose de la mort qui impacte les relations sociales entre les individus. imaginer un père qui se fait hospitaliser pour se faire soigner du virus, deux semaines après son admission, les  le déclarent guéri et lui délivrent l’attestation de sortie. La famille malgré les assurances des médecins, refuse qu’il rentre à la maison de peur de les contaminer. Ils ont tellement peur, qu’il ne font même plus confiance au corps médical, pensant que les médecins, délivrent des certificats de sortie pour libérer les lits pour d’autres malades. Il faut dire que l’engorgement des hôpitaux par le nombre de personnes atteintes du virus qui augmente tous les jours, mettent les infrastructures à rude épreuve.

Lors de la première vague de la pandémie et dans certains pays, les habitants des communes ou il y a des morts du coronavirus, bloquent l’accès aux cimetières et refusent aux familles de donner des sépultures décentes à leurs défunts « On constate avec effarement que même le rapport a la mort et aux rites funéraires a subi l’influence de ce virus. Les gens ont peur, ils pensaient que même les morts pouvaient les contaminer ». En attendant que les autorités et les familles trouvent une solution, les cadavres continuaient à saturer les morgues. En Italie le pays Européen le plus éprouvé le nombre de malades et de décès était le plus élevé, les autorités avaient décide d’incinérer les morts « la crémation avait été décide car les autorités nationales et locales, se retrouvaient complètement dépassées par le nombre de décès et que les services funéraires ne pouvaient plus assurer une sépulture correcte aux défunts, je pense que cela avait été décide en accord avec les autorités religieuses ».Les dépouilles mortuaires des personnes étrangères qui décédaient dans les pays de résidence, n’étaient pas rapatriées contrairement aux usages conventionnels mis en place entre les pays, Qu’en est il pendant cette deuxième vague qui s’est abattue sur les pays depuis le mois d’octobre ?. Les autorités et les médias ne donnent plus aucune information a ce sujet, sauf que certains pays ont établi des listes rouges des pays dont les citoyens doivent avoir des autorisations speciales pour circuler sur leurs territoires.

MBA

Expert en politique publiques et politiques sociales.

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